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Anne Abruzzi - Présentation personnelle

Photo portrait de Me Marcel Paris

Afin de me présenter plus qu'avec des titres et des expériences professionnelles, sachez que je suis devenue avocate afin de réaliser un rêve d'enfant... Après mes études de droit, ma première expérience professionnelle en qualité de juriste a été auprès d'une fiduciaire internationale, KPMG. J'ai ensuite accompli mon stage d'avocate dans l'étude de Mes Michel Bise, Jean-Pierre Hugenin et Jean Studer à Neuchâtel. En travaillant pendant 11 ans comme greffière dans une Justice de paix, j'ai appris à bien connaître le domaine judiciaire. Depuis 2019, j'occupe la fonction de Conseillère synodale, l'autorité exécutive de l'Eglise Evangélique Réformée du canton de Vaud (EERV).

J'ai toujours vécu dans la région d'Yverdon et j'aime m'impliquer dans la vie de mon petit village du pied du Jura. Malgré cet ancrage, j'ai une ouverture au-delà de nos frontières grâce à ma mère polonaise et mon mari tessinois (de père italien). Nous avons deux enfants dont on aime dire qu'ils sont 1/4 vaudois, 1/4 tessinois, 1/4 italien et 1/4 polonais.

A côté de ma vie professionnelle, je consacre mon temps à ma famille et à mes amis : je suis une relationnelle. Mes loisirs sont la marche, la lecture, le ski en hiver, les jeux de société et tout ce qui permet la rencontre avec l'autre.

Dans le cadre de mon activité auprès de la Justice de paix, j'ai été confrontée à la difficulté de résoudre des conflits par une décision judiciaire. Dans un but de perfectionnement et afin d'aborder un autre domaine que le droit, j'ai eu l'envie de me former dans la médiation qui intègre notamment des notions de communication. Cette méthode de résolution des conflits a été pour moi une révélation : j'ai découvert qu'en faisant confiance aux gens, en leur offrant un cadre adéquat, ils avaient la possibilité de trouver une solution à leur conflit... Dans cette perspective, j'ai pris le "risque" d'exercer comme médiatrice... tout comme vous allez, en lisant les vers ci-dessous, vous décider à "risquer" la médiation...


RISQUER

Rire, c'est risquer de paraître idiot.

Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.

Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.

Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.

Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre.

Aimer, c'est risquer de mourir.

Vivre, c'est risquer de mourir.

Espérer, c'est risquer de désespérer.

Essayer, c'est risquer d'échouer.

Mais il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie, c'est de ne rien risquer du tout.

Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'est rien.

Il peut éviter la souffrance et la tristesse, mais il n'apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre.

Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté́.

Seuls ceux qui risquent sont libres.

Margaret Mead «Echanges» - Aube.

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